À l’aube de ses soixante ans, le violoniste britannique, qui a exploré avec maestria la musique classique, puis le rock et le jazz, sort pour la première fois un album qu’il a lui-même composé et arrangé avec l’aide de l’Orchestre philharmonique d’Oxford. La première partie de cet opus est un hommage à son mentor Yehudi Menuhin, ainsi qu’à d’autres musiciens qui l’ont influencé, comme Stéphane Grappelli ou Mark O’Connor. La deuxième partie est une suite inspirée de la pièce de Tchekhov Les Trois Sœurs. Nigel Kennedy démontre à nouveau que jazz mélodique, rock celtique, piano et musique classique peuvent cohabiter en toute harmonie.