À seize ans, le prodige coréen du piano Doomin Kim fait ses débuts discographiques en nous guidant à travers ses partitions préférées de Félix Mendelssohn. Rares ou célèbres, ces pièces caractéristiques de l’ère romantique requièrent une grande rapidité d’exécution autant qu’un sens affiné des couleurs et des nuances. Élégant virtuose, le jeune étudiant de l’École Normale de Musique de Paris a les dispositions pour faire chanter les Variations, Op. 82, apporter douceur et tendresse au Rondo capriccioso, ou pour transformer la Fantasie, Op. 28 en éblouissant bouquet final.