Thomas Adès entrelace ici les trois premières symphonies de Beethoven et les compositions espiègles de Gerald Barry. Écrit en 2008, son portrait irrévérencieux du génie allemand en amoureux transi, simplement intitulé Beethoven, offre un contrepoint comique et théâtral aux symphonies du maître. Ces œuvres, sincères ou satiriques, sont portées par l’énergie et la fraîcheur du Britten Sinfonia, élargi pour l’occasion à plus de 40 musiciens.