Reine de la nature, ô puissante déesse !
Prélude et récit : « Quel bruit soudain ! Quel trouble !. »
József Gál · Purcell Choir · György Vashegyi · Orfeo Orchestra · David Witczak · Márton Komáromi
Pour vous dont je reçois et l'encens et les vœux
Que, digne fils du plus grand des vainqueurs
Que votre empressement a de quoi m’étonner !
Nos bergers, nos sylvains s'approchent de ces lieux
Nos bois savent taire
Allons, chère Témire, et cherchons un asile
Nymphe, tout sur ces bords célèbre vos appas
Croirai-je que les chants que vous venez d'entendre
Vous voyez le danger, songez à l'éviter
Amants dont le prix
Glaucus n'est plus sur ce rivage
Pourquoi vous obstiner à vivre sous mes lois ?
Où courez-vous, Glaucus ?
Ah ! C'est trop conserver une inutile ardeur
Rien ne s'oppose plus à ma félicité
C'est au bord de cette fontaine
Dieux ! quel frémissement
Symphonie pour exprimer les aboiements des monstres qui environnent Scylla, et des gouffres
