Premier et deuxième rigaudon pour la suite de l'Amour et de Zéphire
Vous à qui deux beaux yeux assurent la victoire
Chantez, formez toujours le concert le plus tendre
Les dieux et les mortels, heureux par ta puissance
Partons, abandonnons Cythère
Toi qui fais leurs plaisirs, vas-tu les partager?
Du trouble qui l'agite, étonnée, incertaine
Daphné doit dans ces lieux venir avant la fête
Mais je la vois, moments de transports amoureux
Un prix est dans ce jour proposé par Cypris
Tournez sur moi ces yeux qui vous rendent si belle
Vous vous plaignez toujours ! Quand l'Amour nous entraîne
La paisible indifférence
Non, l'Amour n'est point redoutable
On vient, chacun s'apprête
Air et pour mériter les dons de l'immortelle
Bergers, quelqu'un veut-il encor se faire entendre
L'objet à qui l'Amour doit rendre ici les armes [1]
Katia Velletaz · György Vashegyi · Orfeo Orchestra
L'objet à qui l'Amour doit rendre ici les armes [2]
Air et quels plaisirs l'Amour nous procure!
Éléonore Pancrazi · György Vashegyi · Orfeo Orchestra · Purcell Choir
Mon coeur aurait été le prix de la constance
Bientôt nous connaîtrons Lucile
Elle croit recevoir d'un inconnu qui l'aime
Quel triomphe ! Dieux ! Quelle gloire !
Katia Velletaz · Orfeo Orchestra · Éléonore Pancrazi · György Vashegyi
Mon bonheur m'amène en ces lieux
Chantal Santon-Jeffery · Orfeo Orchestra · Katia Velletaz · Éléonore Pancrazi · György Vashegyi
Lucile, avouez-vous de si cruels discours?
Orfeo Orchestra · Katia Velletaz · Chantal Santon-Jeffery · György Vashegyi
Voilà donc d'où partaient vos mépris inhumains
C'en est donc fait, cruelle, et vous ne m'aimez plus
Katia Velletaz · Orfeo Orchestra · György Vashegyi · Chantal Santon-Jeffery
Mes feux sont écoutés, la princesse que j'aime
Un inconstant partout doit se faire haïr
Ah ! Quelqu'un vient, fuyons
Chantal Santon-Jeffery · Éléonore Pancrazi · György Vashegyi · Orfeo Orchestra
Doux sommeil, qui suspends les maux des misérables
Quel songe séduisant s'offrait à ma pensée?
Silvandre, dites-vous ? Après son inconstance !
Étouffez désormais les vains transports
C'en est trop, charmante bergère
Célébrez la beauté pour qui mon coeur soupire
Volez, tendres plaisirs, venez nous rendre heureux
Triomphez de mon coeur, cette aimable victoire
